Comprendre le cancer du côlon

Le côlon

Le côlon est l’une des trois parties de l’intestin. Le côlon participe à la digestion et à l’élimination des déchets. Ces déchets deviennent des selles Matières fécales ou caca. avant d’être évacués.

Le côlon est l'une des trois parties de l'intestin. Ces trois parties sont :

  1. l’intestin grêle (ou petit intestin) ;
  2. le côlon (ou gros intestin) ;
  3. le rectum qui se termine par l’anus.

Le cancer du côlon

Le cancer du côlon touche les femmes et les hommes.

Le cancer du côlon, appelé aussi cancer colorectal, se développe dans les cellules du côlon Le côlon est la partie de l'intestin qui commence à la fin de l'intestin grêle et se termine au rectum. L’intestin comprend trois parties : (1) l'intestin grêle (ou petit intestin), (2) le côlon (ou gros intestin), (3) le rectum qui se termine par l'anus. ou du rectum Partie terminale du gros intestin. L’intestin comprend trois parties : (1) l'intestin grêle (ou petit intestin), (2) le côlon (ou gros intestin), (3) le rectum qui se termine par l'anus.. Parfois, les muqueuses du côlon et du rectum se modifient. De petites excroissances peuvent alors se former. On les appelle des polypes. Il existe deux types de polypes Petite grosseur sur la paroi de l’intestin. Il existe 2 types de polypes : les polypes qui ne risquent pas d’évoluer en cancer. C’est la majorité ! ; les polypes qui risquent d’évoluer en cancer. Ces polypes sont appelés adénomes. :

les polypes qui ne risquent pas d’évoluer en cancer ;

les polypes qui peuvent évoluer en cancer, appelés adénomes Polype (petite excroissance dans la paroi interne de l’intestin) susceptible d’évoluer et de se transformer progressivement en tumeur cancéreuse. .

  • Sur 100 adénomes débutants, moins de 5 évolueront en cancer.
  • Un adénome peut évoluer en cancer. Cela prend généralement de 10 à 15 ans mais peut parfois être plus rapide.

Les polypes sont fréquents : à partir de 65 ans, plus de 30 personnes sur 100 ont des polypes dans l’intestin.

La majorité des polypes restent bénins Non cancéreux. Une tumeur bénigne n’est généralement pas dangereuse pour la santé., c’est-à-dire que les polypes n’évoluent pas en cancer et ne comportent pas de risque pour la santé.

Certains adénomes, situés sur la paroi interne du côlon ou du rectum, peuvent évoluer en cancer. Ces adénomes peuvent provoquer des saignements invisibles à l’œil nu, avant de provoquer des symptômes.

Symptômes du cancer du côlon

Le cancer du côlon évolue souvent sans provoquer de symptômes Un symptôme est la manifestation d'un problème de santé dans votre corps. Consultez rapidement votre médecin si vous avez un symptôme, comme par exemple : une perte de poids inexpliquée ; des troubles digestifs persistants (douleurs au ventre, diarrhée ou constipation inhabituelles ; présence de sang dans les selles) ; une sensation de fatigue sans savoir pourquoi. au début. Lorsque ces symptômes apparaissent, ils peuvent être confondus avec des troubles digestifs courants et bénins Non cancéreux. Une tumeur bénigne n’est généralement pas dangereuse pour la santé..

Consultez votre médecin si vous présentez un symptôme, comme, par exemple :
  • une perte de poids inexpliquée ;
  • des troubles digestifs persistants : douleurs abdominales, diarrhée ou constipation, présence de sang dans les selles ;
  • une sensation de fatigue inexpliquée.

Plus d'information sur le cancer du côlon

Diminuer le risque de cancer du côlon

Le cancer du côlon est une maladie influencée par plusieurs facteurs.

Facteurs de risque non modifiables

Âge
Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI)
Génétique et antécédents familiaux
Antécédents personnels du cancer du côlon ou de polype

Facteurs de risque modifiables

Alimentation déséquilibrée
Sédentarité
Consommation de tabac
Consommation d'alcool

Adopter un mode de vie sain peut contribuer à réduire le risque de cancer du côlon : manger équilibrer, faire de l’exercice régulièrement, éviter le tabac et limiter l’alcool, dormir suffisamment, etc.

Toutefois, il n’existe aucune protection contre cette maladie. C’est pourquoi le dépistage, recommandé dès 50 ans, est important.

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